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« Institut d'astrophysique de Paris » : différence entre les versions

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== Recherches actuelles ==
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L'IAP compte 150 [[chercheur]]s, [[ingénieur]]s, [[technicien]]s, administratifs et doctorants, et accueille régulièrement de nombreux stagiaires et visiteurs étrangers<ref>http://www.iap.fr/institut/presentation/presentation.php</ref>.
L'IAP compte 150 [[chercheur]]s, [[ingénieur]]s, [[technicien]]s, administratifs et doctorants, et accueille régulièrement de nombreux stagiaires et visiteurs étrangers<ref>http://www.iap.fr/institut/presentation/presentation.php</ref>.


Les principales thématiques étudiées à l'institut d'astrophysique de Paris sont :
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Le laboratoire se situe à l'interface entre deux disciplines, [[astrophysique]] et [[physique théorique]]. De nombreuses recherches menées dans le laboratoire font appel à des données recueillies par de grands [[Observatoire_astronomique_au_sol|observatoires astronomiques au sol]] ou dans l'[[télescope spatial|espace]] tels l'[[observatoire de La Silla]], le [[Very Large Telescope]], l'[[observatoire Canada-France-Hawaï]], les sites français ([[interféromètre du plateau de Bure]]) et espagnols ([[radiotélescope de Pico Veleta]]) de l'[[institut de radioastronomie millimétrique]]<ref>http://www.iap.fr/recherche/programmes/programmes.php</ref>.
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Le laboratoire héberge le centre du traitement des [[donnée]]s de la caméra [[MegaCam]] implantée au [[Observatoire Canada-France-Hawaï|télescope Canada-France-Hawaï]] (projet [[TERAPIX]]) et le centre de traitement des [[donnée]]s de l'instrument HFI du satellite [[Planck (satellite)|Planck]]. Avec deux autres laboratoires de l'Uniersité Pierre et Marie Curie, le [http://www.lpthe.jussieu.fr/spip/ Laboratoire de Physique Théorique et Hautes Energies] et le [http://lpnhe.in2p3.fr/ Laboratoire de physique nucléaire et de hautes énergies], il a créé le [[Labex]] [http://ilp.upmc.fr/ Institut Lagrange de Paris]
Le laboratoire héberge le centre du traitement des [[donnée]]s de la caméra [[MegaCam]] implantée au [[Observatoire Canada-France-Hawaï|télescope Canada-France-Hawaï]] (projet [[TERAPIX]]) et le centre de traitement des [[donnée]]s de l'instrument HFI du satellite [[Planck (satellite)|Planck]]. Avec deux autres laboratoires de l'Uniersité Pierre et Marie Curie, le [http://www.lpthe.jussieu.fr/spip/ Laboratoire de Physique Théorique et Hautes Energies] et le [http://lpnhe.in2p3.fr/ Laboratoire de physique nucléaire et de hautes énergies], il a créé le [[Labex]] [http://ilp.upmc.fr/ Institut Lagrange de Paris]
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* [http://www.iap.fr/ Site de l'institut d'astrophysique de Paris]
* [http://www.iap.fr/ Site de l'institut d'astrophysique de Paris]
* [http://terapix.iap.fr/ Projet TERAPIX]
* [http://terapix.iap.fr/ Projet TERAPIX]

== Références ==

<references />


{{Portail|astronomie|Paris}}
{{Portail|astronomie|Paris}}

Version du 5 octobre 2015 à 14:50

Entrée de l'IAP, au 98bis du boulevard Arago.

L'Institut d'astrophysique de Paris est un observatoire des sciences de l'univers appartenant à l'Université Pierre-et-Marie-Curie et associé au Centre national de la recherche scientifique. Il est situé au no 98 bis du boulevard Arago, dans le 14e arrondissement de Paris, à proximité de l'Observatoire de Paris.

Historique

La création de l'IAP est décidée en 1936 par le ministre de l'Éducation nationale Jean Zay, initialement en vue de procéder au traitement des données recueillies par l'observatoire de Haute-Provence construit à la même époque. Le laboratoire, initialement appelé « Laboratoire d'astrophysique » ouvre ses portes le . Henri Mineur en est le premier directeur. Ses locaux sont initialement situés au sein de l'observatoire de Paris, puis dans ceux de l'École normale supérieure de Paris avant de prendre leur place définitive dans le bâtiment actuel dont la construction est achevée en 1952.

Recherches actuelles

L'IAP compte 150 chercheurs, ingénieurs, techniciens, administratifs et doctorants, et accueille régulièrement de nombreux stagiaires et visiteurs étrangers[1].

Les principales thématiques étudiées à l'institut d'astrophysique de Paris sont :


Le laboratoire se situe à l'interface entre deux disciplines, astrophysique et physique théorique. De nombreuses recherches menées dans le laboratoire font appel à des données recueillies par de grands observatoires astronomiques au sol ou dans l'espace tels l'observatoire de La Silla, le Very Large Telescope, l'observatoire Canada-France-Hawaï, les sites français (interféromètre du plateau de Bure) et espagnols (radiotélescope de Pico Veleta) de l'institut de radioastronomie millimétrique[2].

Le laboratoire héberge le centre du traitement des données de la caméra MegaCam implantée au télescope Canada-France-Hawaï (projet TERAPIX) et le centre de traitement des données de l'instrument HFI du satellite Planck. Avec deux autres laboratoires de l'Uniersité Pierre et Marie Curie, le Laboratoire de Physique Théorique et Hautes Energies et le Laboratoire de physique nucléaire et de hautes énergies, il a créé le Labex Institut Lagrange de Paris

L'union astronomique internationale a son siège à l'IAP.

Directeurs successifs de l'institut d'astrophysique de Paris

Accès

L'Institut d'astrophysique de Paris est desservi par la ligne (M)(6) à la station Saint-Jacques et les lignes (M)(4)(6) à la station Denfert-Rochereau ainsi que par les lignes de bus RATP 3868.

Voir aussi

Liens externes

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Références