Critiques de films

Qu’une série dramatique historique mettant en scène la vie d'aristocrates britannique et de leurs domestiques séduise le public anglais, c‘est une chose ! Qu‘elle soit un succès international, c'en est une autre ! Pourtant "Downton Abbey", la série créée par Julian Fellowes a réussi cet exploit.

Quelles sont les destinations spatiales les plus tendances au cinéma ? Suivons le guide, Jeremy Querenet, qui nous amène en balade avec des escales sur la Lune, Mars, Arrakis, Neptune et Tatooine.

Ce film de 1987 qui clôt la trilogie tropézienne de Max Pecas n’est pas de la tarte à revoir car on y pratique un humour suranné et représentatif de ce que furent aussi les années 80.

Humanoïde ou monstre gluant ? Jérémy Querenet fait un tour d'horizon du bestiaire imaginaire et extraterrestre du cinéma.

De la télé au cinéma, il n'y a parfois qu'un pas qu'a franchi Michaël Youn. Thomas Croisière nous emmène dans son voyage en comédie ce matin.

Deux frères et leurs partenaires de vie sont confinés à la campagne dans la maison familiale où ils convoquent les souvenirs d'enfance et leurs fantômes du passé. Nos critiques fustigent un entre-soi bourgeois poussif et très mal porté à l'écran.

La cinéaste adapte le livre de la journaliste Vanessa Schneider, cousine de la comédienne Maria Schneider dont la vie a basculé sur le tournage de "Dernier Tango à Paris" de Bernardo Bertolucci, durant lequel elle avait été victime d'un abus sexuel lors d'une scène avec Marlon Brando.

Après "Les Trois Mousquetaires", Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière adaptent cette fois-ci un autre très grand roman de l'œuvre d'Alexandre Dumas. Une réadaptation que les critiques du Masque & la Plume ont trouvée très digne.

Le cinéaste grec signe une fable sur la soumission à travers trois histoires. On y retrouve Emma Stone et Jessie Plemons qui avaient respectivement reçu le Prix d'interprétation masculine à Cannes et l'Oscar de la Meilleure actrice pour "Pauvres créatures".

Pour sa dernière émission de la saison, Mauvais Genres rend hommage à l'immense Roger Corman.

Faut-il aller voir "Le Comte de Monte-Cristo" de Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière, "Kinds of Kindness" de Yorgos Lanthimos, "Hors du Temps" d’Olivier Assayas, "The Bikeriders" de l’Américain Jeff Nichols et "Maria" de Jessica Palud ?

Il y a peu, le cinéaste grec Yorgos Lanthimos présentait "Pauvres créatures", il revient toujours accompagné d'Emma Stone pour sa fable "Kinds ok kindness" ; quand le réalisateur sud-coréen Hong Sang Soo continue lui aussi d'être prolifique avec une nouvelle courte réalisation, "In water".

Peter Fonda et Dennis Hopper, bacchantes au vent, lunettes fumées, qui traversent les Etats-Unis sur leur chopper. Vous avez bien sûr reconnu “Easy Rider”. Le film dont je vais vous parler ce matin pourrait en être la préquelle.

Roschy Zem est à l'affiche d’Elyas, réalisé par Florent-Emilio Siri, qui sortira en salles le 3 juillet. Un film d’action à l'américaine, à gros budget où il joue un super-héros avec des cascades à couper le souffle, loin des films qu’il a interprétés ces derniers temps.

Pour son huitième long-métrage, l'autrice et réalisatrice Marjane Satrapi signe un film choral qui se déroule à Paris où plusieurs existences s'entremêlent les unes avec les autres et qui interrogent le rapport entre la vie et la mort.

Leos Carax revient avec un film-collage de 40 minutes qui revisite le XXème siècle autour de deux axes : la politique et le cinéma. Si certains critiques y ont vu un grand moment de cinéma, d'autres y ont vu un moyen métrage inconséquent et dépourvu de sens.

Qu'ont pensé les critiques cinéma du Masque et la plume du dernier film de Bruno Podalydès (Adieu Berthe ou l'enterrement de mémé, Comme un avion, Les deux Alfred...) ?

Faut-il foncer au cinéma pour aller voir "La petite vadrouille" de Bruno Podalydès, "C’est pas moi" de Leos Carax, "Love lies bleeding" de Rose Glass, "Paradis Paris" de Marjane Satrapi et "Rendez-vous avec Pol Pot" de Rithy Panh ?

Les hommes rongeurs sont partout. Sujet de discussion majeur sur les réseaux, dans les tabloïds, les magazines féminins, la télé, les journaux : les hommes rongeurs ou « rodent men » désignent un nouveau type masculin, au visage proche de la petite souris, du rat, ou de la musaraigne, mais en sexy.

Le mercredi, c'est cinéma ! Et au programme, deux films qui n'ont pas grand-chose à voir entre eux : d'une part, le récit d'une histoire passionnée et explosive entre deux femmes avec "Love Lies Bleeding" de Rose Glass ; de l'autre, un joyeux bazar avec "Juliette au printemps" de Blandine Lenoir.