Critiques littéraires

Vous avez envie de vous changer les idées ces temps-ci, et je pense deviner pourquoi… Dans ces moments, rien de tel qu’un bon bouquin et ce matin, dès la couverture, vous devinez que vous avez quelque chose de tordu entre les mains.

Nos critiques continuent de déballer leurs valises pour vous prescrire leurs conseils de lecture les plus estivaux (ou pas !).

Pour la dernière avant l'été, nos critiques viennent remplir vos valises de prescriptions en tous genres et pour tous les goûts : BD, littérature, ballets, festivals sont au programme !

De la littérature qui perturbe et qui hypnotise au menu de ce débat critique, avec "Le tissu de crin" de Jennifer Kerner et "Tirer" d'Alexandre Valassidis. Qu'en ont pensé nos critiques ?

Les nouvelles pages de Marie Darrieussecq, de Tiffany Tavernier, de Joy Sorman, de Phoebe Hadjimarkos Clarke, d'Édouard Louis, d'Hervé Le Tellier et de Stephen King doivent absolument vous accompagner durant vos vacances d'été !

Le lauréat du Goncourt 2014 imagine les voix des victimes des attentats à Paris du vendredi 13 novembre 2015. L'auteur restitue leurs derniers moments partagés juste avant l'horreur, un procédé romanesque qui a plongé Le Masque dans l'embarras.

Découvrez l'avis partagé des critiques du Masque autour du tout nouveau roman d'Erri de Luca, auteur de "Montedidio" (prix Femina étranger en 2002). Le roman nous trasnporte entre l’Italie et la Slovénie, à la rencontre d'une jeune tzigane et d'un humaniste prêt à tout pour l'aider.

Après son "Journal de nage" paru il y a deux ans, l'académicienne en signe un second, cette fois-ci consacré à sa pérégrination dans l'Ouest-américain. Un nouveau dépaysement et de nouvelles rencontres au milieu du désert au début des années 1980.

Nos critiques ont lu "Les règles du Mikado" d’Erri de Luca, "Terrasses ou notre baiser si longtemps retardé" de Laurent Gaudé, "Journal d’Arizona" de Chantal Thomas, "Ici commence un amour" de Simon Johannin et "Hot Milk" de Deborah Levy, qu'en ont-ils pensé ?

Un débat critique consacré à la littérature étrangère de l'est, avec "Viande" du tchèque Martin Harnicek et "Les garçons de la rue Pál" du hongrois Ferenc Molnár. Alors, plutôt dystopie apocalyptique ou récit épique à hauteur d'enfant ?

Au menu, de la littérature qui bouleverse et renverse avec un tome inédit de l'autobiographie de la poétesse Maya Angelou avec "Chanter, swinguer, faire la bringue comme à Noël" et "L'imposture" de Zadie Smith qui dresse le portrait d'une femme abolitionniste à l'époque victorienne.

Après "La Fille qu'on appelle", Tanguy Viel propose une introspection à travers l'expérience de la littérature et de la pensée, enveloppées par celle de la vie, comme si toutes étaient observables dans un vivarium à l'aide de notations rêveuses et digressives.

La nouvelle intrigue d'Olivier Adam prend place autour du lac d'Annecy. Pour les critiques du Masque, même si l'histoire n'est pas fracassante, ils ont apprécié la description sociologique du lieu à travers la dimension polyphonique de ce roman.

Un livre sociologique sur les Etats-Unis et une enquête sur deux anciens professeurs d’université à la retraite au drôle de régime alimentaire.

Le maître de la littérature d'horreur signe un nouveau roman, plus sociologique et politique, très allégorique de la société américaine trumpiste et post-covid, multi-fracturée. A travers une enquête sur deux anciens professeurs d’université à la retraite qui mangent des foies humains. Verdict ?

Les critiques du Masque & la Plume ont lu "Holly" de Stephen King, "Julienne" de Scholastique Mukasonga, "Il ne se passe rien ici" d’Olivier Adam, "Vivarium" de Tanguy Viel et le roman graphique "La Route" de Manu Larcenet.

Faut-il lire "Le Nom sur le mur" d'Hervé Le Tellier ? Les critiques du Masque réunis par Rebecca Manzoni – Laurent Chalumeau, Raphaëlle Leyris, Blandine Rinkel, Arnaud Viviant – nous répondent.

Faut-il lire "Monique s’évade" d'Édouard Louis ? Les critiques du Masque – Laurent Chalumeau, Raphaëlle Leyris, Blandine Rinkel, Arnaud Viviant –, réunis par Rebecca Manzoni, nous répondent.

Il exerçait “le métier de lire”, selon son expression. Bernard Pivot s'est éteint, à 89 ans. Son nom restera indissociable de l'émission "Apostrophes", que le journaliste a animé pendant quinze ans sur Antenne 2.

Les critiques du Masque saluent un livre qui rappelle parfois "Le lambeau" de Philippe Lançon de par son propos, et apprécient le talent de l'écrivain malgré des passages parfois trop complaisants.