Euthanasie

France Inter passe en revue, jusqu'au premier tour des législatives, les programmes des grandes forces en présence. Ce vendredi, il est question de la fin de vie, qui était en discussion à l'Assemblée juste avant la dissolution.

Pendant que les eurodéputés font campagne, nos députés légifèrent. Au Palais Bourbon, le débat sur la fin de vie a démarré le 27 mai… Dans une relative indifférence ?

La vie parlementaire continue pendant les élections européennes, ainsi le projet de la loi sur la fin de vie est actuellement examiné à l’Assemblée.

Retour dans cette édition sur le "délit d'entrave", un amendement ajouté au texte qui pourrait toucher les médecins refusant cette aide aux patients qui le demandent.

Quand on aborde la question de l'aide à mourir, où se trouve le point d'équilibre ? Les députés en débattent dans l'hémicycle.

Le débat s'annonce passionné dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale où arrive, ce lundi après-midi, le projet de loi sur la fin de vie.

À l'Assemblée nationale, le projet de loi sur la fin de vie franchit une première étape. Dès les premiers débats, le texte initial a évolué. Est-ce un problème ?

Alors que la loi sur l’aide active à mourir s’apprête à être examinée à l’Assemblée nationale, il est nécessaire de tenter de cerner les enjeux politiques et philosophiques d’un tel événement législatif.

Quels mots, quelles pensées, quelles images, quels visages traversent les personnes qui voient la mort approcher ? Leurs mots intimes, auto-enregistrés à tout moment de la journée ou de la nuit, ceux de leurs proches aussi, nous racontent le journal d’une vie qui s’achève.

L‘annonce d’un futur projet de loi légalisant le suicide assisté, pose de vertigineuses questions sur ce qu’est et doit être l’accompagnement des personnes en fin de vie.

Immersion dans un service de soins palliatifs à l'hôpital de la Tauvrais à Rennes, à la rencontre des patients, de leurs proches, des soignants, où il est question de la manière dont on accompagne aujourd'hui la fin de la vie.

Nous ne mourons plus chez nous. La mort a été reléguée dans les chambres des hôpitaux. Ne plus avoir l'occasion de regarder la mort en face ne nous empêcherait-il pas de réfléchir collectivement à cette période de la vie et à ce que nous pouvons apporter à nos concitoyens mourants ?

Une commission spéciale pour travailler sur le projet de loi relatif "à l’accompagnement des malades et de la fin de vie" s'ouvre ce mardi à l'Assemblée Nationale : Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale à l’Université Paris-Saclay est l'invité de 6h20.

Aujourd'hui à 7h50, notre invité est l'immunologue Jean-François Delfraissy, co-auteur de “Un médecin au front” (Seuil), président du Comité consultatif national d’éthique, dont l'avis a beaucoup compté pour l'élaboration du projet de loi sur la fin de vie, discuté à partir du 27 mai à l'Assemblée.

Le jour de la présentation du projet de loi sur la fin de vie en France fait écho à deux condamnations en Allemagne, celles de deux médecins pour avoir aidé des malades à mettre fin à leurs jours.

Avant d'ouvrir la voie à une assistance au suicide, l'exécutif veut donner une forte impulsion aux soins palliatifs. Mais son plan suscite des doutes.

Emmanuel Macron a promis un projet de loi pour une "aide à mourir" présenté en avril. Le Canada a légalisé l’euthanasie, appelée "l’aide médicale à mourir" il y a huit ans, en 2016. D’après les dernières statistiques, entre 2016 et 2022, près de 45 000 Canadiens l'ont reçue.

Emmanuel Macron a promis un projet de loi pour une "aide à mourir" présenté en avril. Le Canada a légalisé l’euthanasie, appelée "l’aide médicale à mourir" il y a huit ans, en 2016. D’après les dernières statistiques, entre 2016 et 2022, près de 45 000 Canadiens l'ont reçue.

Le gouvernement a transmis son projet de loi sur la fin de vie et "l'aide à mourir" au Conseil d'Etat.

Un an après les conclusions de la convention citoyenne sur la fin de vie, Emmanuel Macron a dévoilé son projet de loi sur la fin de vie. Projet de loi dans lequel figure aussi un plan d'aide pour les soins palliatifs. Mais le projet de loi devra encore être adopté par le Parlement en mai...