La Réunion se barricade avant le passage du cyclone Belal

L'ensemble du littoral réunionais a été placé en vigilance rouge vagues-submersion avec le passage du cyclone Belal. ©AFP - Richard Bouhet
L'ensemble du littoral réunionais a été placé en vigilance rouge vagues-submersion avec le passage du cyclone Belal. ©AFP - Richard Bouhet
L'ensemble du littoral réunionais a été placé en vigilance rouge vagues-submersion avec le passage du cyclone Belal. ©AFP - Richard Bouhet
Publicité

Avec des vagues pouvant atteindre quinze mètres de haut et des vents de 200 à 250 km/h, le cyclone Belal qui va balayer l'île dans les prochaines heures pourrait s'avérer dévastateur et "historique" d'après le préfet de La Réunion. Le Premier ministre convoque une cellule de crise place Beauvau.

Depuis 20 h heure locale, les Réunionnais sont priés de se confiner avant le passage du cyclone Belal durant la nuit prochaine et la journée de lundi. Les vents pourraient atteindre 200 km/h sur le littoral et jusqu'à 250 km/h sur les reliefs. Un cyclone qui s'annonce historique et qui pourrait "marquer l'histoire" estime le préfet de La Réunion, Jérôme Filippini. L'île n'a plus été frappée par un cyclone intense depuis dix ans et le passage de Bejisa début 2014. Mais avec Belal, l'alerte rouge cyclonique pourrait passer au cran supérieur avec une alerte violette. Dimanche soir, le Premier ministre Gabriel Attal a donc convoqué plusieurs ministres pour une réunion au centre de crise du ministère de l'Intérieur afin de faire un point sur les opérations.

Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux.

Ces cookies permettent de partager ou réagir directement sur les réseaux sociaux auxquels vous êtes connectés ou d'intégrer du contenu initialement posté sur ces réseaux sociaux. Ils permettent aussi aux réseaux sociaux d'utiliser vos visites sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.

Les autres titres du journal

Les opposants à la loi Asile et immigration se sont mobilisés aux quatre coins du pays dimanche. Des manifestations se sont déroulées à Marseille, Bordeaux, Nîmes, Besançon ou encore à Paris, où plusieurs milliers de personnes ont défilé à l'appel de 400 collectifs, associations, syndicats et partis politiques. Ils demandent le retrait total de ce texte adopté le 19 décembre dernier à l'Assemblée avec les voix de la droite et de l'extrême droite.

Publicité

À Londres, des milliers de manifestants demandent la libération des otages israéliens. Au centième jour de guerre, 130 personnes sont toujours détenues pas le Hamas dans la bande de Gaza. Mais l'armée israélienne reste déterminée à poursuivre ses opérations. "Personne ne nous arrêtera" a lancé le Premier ministre israélien samedi. Près de 29 000 palestiniens ont été tués dans les frappes israéliennes, affirme le Hamas.

L'équipe